ANTI-PLASTIC
ANTI - PLASTIC ISSUE
With an estimated one trillion single-use plastic bags used annually across the globe and more than half a billion plastic straws used every day around the world it was the positive move by the Government of Vanuatu which banned single-use plastic bags, drinking straws and styrofoam food containers on January 1st 2018. Residents have been surprisingly receptive to the measure, and laws are now preparing to restrict more disposable products, making one of the world’s toughest plastic bans even tougher. In Vanuatu, the focus on plastic began with a Facebook campaign in 2017. The page quickly gained supporters, while an accompanying petition gained some 2,000 signatures in weeks. The effort attracted the attention of lawmakers, and legislation followed. Part of the reason things were easier in Vanuatu is that respect for the environment is an intrinsic part of the culture here. A thriving handicrafts industry that produced alternatives to single-use plastic items has also existed for generations. This helped make the switch from disposable plastic bags not only painless but popular. And the policy change had a visible effect right away.
Locals point out that there’s practically no trash in the streets of downtown Port Vila, compared to the time before the ban went into effect. Weavers like Selina Kalsong, known around the country as “mamas,” learned their art from older generations and will pass it along to youngsters. Different islands are skilled in different styles of weaving. Bula said the plastic ban has already been a boon to mamas throughout the country who have seen increased sales in the past six months, a trend they hope to continue as the ban expands. But plastic hasn’t disappeared completely. Disposable water bottles are still commonplace and are not included in the current ban and plastic is still prevalent in landfills but is getting less as time goes on.
Ni Vanuatu are leading the world in providing an example of how a country can get behind a worthwhile cause and Vanuatu Post is proud that this stamp issue is one of the earliest in the world supporting an anti-plastic campaign.
Avec près d’un trilliard de sacs en plastique à usage unique utilisés de part et d’autre de la planète et plus d’un demi-milliard de pailles en plastique utilisées chaque jour dans le monde entier, ce fut une mesure positive de la part du gouvernement du Vanuatu que d’interdire l’emploi de sacs en plastique à usage unique, de pailles et d’emballages pour aliments en polystyrène à partir du 1er janvier 2018. Les habitants ont bien accueillis cette iniative, chose surprenante, et des lois sont en cours de rédaction pour interdire l’usage d’autres produits jetables, ce qui va rendre un des interdits sur le plastique les plus rudes du monde encore plus dur. Au Vanuatu, la focalisation sur le plastique a commencé par une campagne sur Facebook en 2017. La page n’a pas tardé à rallier des partisans, tandis qu’une pétition à l’appui a obtenu environ 2000 signatures en quelques semaines. L’effort a attiré l’attention des législateurs et une loi s’ensuivit.
Une des raisons pour lesquelles ce fut plus facile à faire passer au Vanuatu vient de ce que le respect de l’environnement fait partie intégrante de la culture du pays. Une industrie artisanale en plein essor produisant une alternative pour des articles en plastique à usage unique existe aussi depuis des générations. Cela a permis de faire la transition du sac plastique jetable non seulement de façon indolore mais aussi populaire. Le changement a tout de suite eu un effet visible. Les locaux signalent qu’il n’y a pratiquement plus de détritus dans les rues du centre-ville de Port-Vila, contrairement à ce que c’était avant l’entrée en vigueur de l’interdit. Des tisseuses comme Selina Kalsong, appelées des “mamas” partout dans le pays, ont appris leur art de générations antérieures et le transmettront aux jeunes.Différentes îles ont des styles de tissage différents. Bula dit que l’interdit sur le plastique a déjà apporté des bienfaits aux mamas partout dans le pays, elles ont vu leurs ventes se multiplier au cours des six derniers mois, une tendance qu’elles espèrent voir se poursuivre avec l’expansion de l’interdit. Or, le plastique n’a pas complètement disparu. Les bouteilles d’eau jetables sont encore monnaie courante, elles ne sont pas incluses dans l’interdit en vigueur et le plastique se trouve encore fréquemment dans les décharges, mais diminue petit à petit avec le temps.
Les Ni-Vanuatu ont pris les devants dans ce monde en donnant l’exemple de la façon dont un pays peut appuyer une bonne cause et la société Vanuatu Post est fière que cette émission de timbres soit une des premières au monde qui soutienne la lutte contre le plastique. Avec nos remerciements à Nick Visser de HuffPost, New York, pour avoir été à l’origine d’une grande partie de cet article.